Ceux qui s'intéressent à la photographie et aux débuts des activités de celle-ci iront voir avec plaisir les expositions sur le daguerréotype français et sur les premières photographies sur papier en Grande-Bretagne ( 1840-1860).
On reste assez étonné en voyant des vues " réelles " de la Révolution de 1848 à Paris. Une barricade, à Paris, a été photographiée et, 160 ans après, elle reste un témoignage historique de ces événements. On observe aussi la clairvoyance de Daguerre qui se rendait compte que son invention allait bouleverser les habitudes. Il avait d'autant plus raison que, depuis l'arrivée des appareils-photos numériques, la photographie a connu une démocratisation sans précédent.
Dans la seconde exposition, on apprend que les milieux artistiques académiques ne voyaient pas d'un bon oeil la création de ces appareils créés par Daguerre. Ils considéraient qu'il s'agissait surtout d'une nouvelle technique et qu'elle n'avait rien à voir avec l'art.
Cela m'amène pour conclure à proposer une idée aux détenteurs d'appareils-photos numériques.
Il y a chaque jour de nombreux oublis ou pertes de ces appareils. Dans ces cas, celui qui trouve l'appareil perdu dans la rue ou un jardin, par exemple, ne sait pas à qui il appartient. Il a certes la possibilité de le rapporter au service des objets trouvés mais cela laisse du temps et une probabilité pour que le propriétaire ne retrouve pas son appareil. Mon idée est la suivante : sur la carte-mémoire qu'on insère dans son appareil-photo, le premier cliché photographierait une feuille de papier sur la laquelle on mettrait : cet appareil-photo de marque... appartient à Monsieur...., habitant...........rue.........Merci de me contacter si vous le trouvez. Une personne honnête trouvant l'appareil, en visionnant les clichés, aurait, dès lors, le moyen de le rendre à son propriétaire. Je n'ai encore lu cette astuce nulle part. Qu'en pensez-vous?
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