Je ne conseille pas de franchir la porte pour aller voir ce qu'il y a dans la caserne. Cela pourrait être douloureux !
Ils sont partis "nos" pompiers, ceux de notre quartier. Ils mettaient de l'animation. La disposition de l'endroit fascinait les enfants et les grands. A la différence d'une caserne militaire, on voyait de l'extérieur la cour de la caserne. C'était un monde particulier où je me souviens être allé pour les bals du 14 juillet. On s'y amusait bien. Je me souviens un jour d'une scène dantesque où un participant fut poursuivi dans la cour par une dizaine de personnes ! Qu'est ce qui s'était passé ? Mystère. Les lumières étaient douces dans cette cour et laissaient de la place à la pénombre. Cela donnait une ambiance très intime au lieu. Bien entendu les pompiers étaient les rois de la fête : ils organisaient le bal.
Les parpaings et la palissade bloquent désormais les entrées. Quel bal fantomatique donne-t-on dans cet endroit ?
2 commentaires:
Enfant mon père m’emmenait dans cette caserne où tous les ans dans la cour à gauche de l'entrée,les pompiers faisaient une démonstration de leur "savoir-faire" sur leur tour d’exercice où un feu était allumé. Cette tour et ces démonstrations n'existent plus depuis bien longtemps, mais le souvenir est resté gravé du fait qu'on pouvait voir de nos propres yeux les pompiers dans l'a pratique de leur métier.
Désormais ce sera l'attente du futur de ce bâtiment qui exercera une curiosité pour moi !
Salut Jean Michel
Je doute fort à un en-murage prolongé de la caserne, il est vrai qu'à chaque passage devant la caserne le coup de tête pour mater l'intérieur de la caserne était devenue un réflexe .
et le clou moi qui habite à quelques mètres disons à vol d'oiseau de goéland je n'entends plus les sirènes..
Bon Week-End
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